La lointaine cousine du prince Mordred

(Désolée Nobles seigneurs et dames je ne savais point ou écrire mon parchemin)

Élizabeth arriva à Camelot après avoir longtemps gallopée, et ceci pendant de très longues heures .Elle se souvint de son très lointain cousin Mordred, qui avait un appartement a Camelot.
Elle entra dans la cité fortifiée sans soucis ,mais pour le château se fut plus dur.

Elle se presenta au poste du guet, mais le garde ne la laissa pas passer.
et lui dit''-Qui êtes vous jeune dame?

''-Je suis Élizabeth princesse des Orcades.J'aimerais bien voir mon cousin le prince Mordred ,qui a des appartement en cette cour du bon roi Arthur.Pouvez vous me conduire a ses appartements ,si vous plait noble soldat.''

Le garde l' accompagna jusqu'a la suite du Prince.

Elle frappa et attendi que son lointain cousin lui ouvre la porte.
Elle était venu le voir a cause d'un mauvais chevalier qui avait emprisonné ses parent dans sa demeure à cause du fait qu'Élizabeth ne voulais pas l'épouser
Pourtant elle s'était enfuie comme sa mère lui avait sugèrée.
Mais elle se rendis bien compte quel aurait du épouser le chevalier en question.Alors elle se dit que son lointain cousin Mordred, pourrait l'aider et c'est pour cela quelle était venu a Camelot.
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HJ : ouais ma p'tite ! j'ai un appart' à cam'lot ...

C'est du plus grand chic ! c'est "in" même ! c'est bat' comme disent les jeunes ! ... Bref !


Ravie ma cousine ! Je te répond dans mes apparts justement, juste en haut de ton topic ...


Voilà ma chère !



( bon ou ai je mis mon dico Orcadien-Orcanien ?! ...)

Arrivés dans les appartements d'Elizabeth, Mordred fit instaler sa fiancé sur un fauteuil confortable et lui fit servir de l'eau fraiche ...
Il lui sourit et l'embrassa ...


Excusez moi pour tantôt très chère ! ...
Mais nous devons être extrèmement vigilant lorsque nous évoluons hors des murs de nos appartements, dans l'enceinte de Camelot ! ... Aussi évitez d'évoquer certains sujets trop ouvertement et surtout en public ! ...


Le prince donna les ordres nécessaires aux serviteurs afin que ceux ci fassent tout leurs possible pour satisfaire Elie et se dirigea vers la porte .

Vous devez être fatiguée ma chère ?! ...
Reposez vous et n'hésitez point à me faire demander en cas de besoin ! ...
Pour l'heure j'ai à faire dans mes appartements ! ...

A tantôt !! ...

Voyant le prince d'orcanie quitter elle se presenta a la chambre de son altesse, qui la fit entrer. Elle se tena sur le seuil de la porte
Est-ce que tout va comme vous voulez?

Désolez mon cher amant.Je ne recommencerait plus jamais.Oui je suis très fatigué .Mais j'ai peur qu'on veule m'attaqué car je ne c'est pas si lancelot et au courant que je suis votre fiancée.J'ai peur de lui extrement beaucoup.
Je devrait peut etre arreté de me stressé a rien.En plus j'ai de bon combatant ici present alors.Pouvrez vous faire gardez ma porte?

Oui Anna tous va tres bien mais vous voulez vous me faire présence de votre compagnie si attachante.

Sans être indiscrete vous n'allez pas bien.Je crois meme que la plusieurs choses vous tracasse surtout apres la scene a l'exterieur voulez-vou en parler?

Quel scène Anna vous voulez me dire>?Je vais très bien c'est vous qui n'allait pas tres bien je croit.

Pardonnez moi ,s'excusa-t-elle en baissant la têteJe faisais seulement reference a la mort de sire Lusignan. Je ne voulais pas vous offenser

Elle aussa la voix comment osez-vous parlé de lui ici.Je ne veux plus vous entendre parle de cela ici.S'était un conseil du futur roi orcades.

oui madame.éPuis -je faire autre chose tout en me taiasant sur n'importe quel sujet?

(Je devrais me couper la langue a dire des betise ou pire ils pourraient me pendre,pensa -t-elle)

(hj : sur-réaliste ! en même temps on à les cours que l'on mérite ... )


Le sourire de Mordred se figea et il hésita un certain temps avant de répondre ...


En effet ma chère ! ...
Je crains que vous ne soyez TRES fatiguée, exténuée, surmenée même !! ...
Et si je ne regagne point mes appartements je risque moi même la migraine ! ...
Je ferais poster un garde devant votre porte si vous le souhaitez ! ...
Sur ce, à bientôt très chère ! ...

Mordred fit un léger sourire à l'adresse de la petite suivante de sa fiancée, leva les yeux au ciel et regagna ses appartements ...

Il y a vraiment des fois ou je devrais me taire, grommela-t-elle a son intention

Je vous laisse .Je vais allez dormir un peu cela ne me ferait surment pas tord.Mordred quand vous aurez besoin de moi reveillé moi.Pour ma part je vais etudié aussi.Alors elle donna une bise a mordred et parta vers son lit

Elle s'inclina et sortit.Dans le couloir,elle couru jusqu'a sa chambre.

Élizabeth était revenu a ces appartement.Elle s'était assi a sa table et lissait un livre sur un sujet très intéréssant.Elle chanté aussi s'était sa passion depuis toujours et chantait merveuillesement bien.

voyant qu'elle était occupe elle repartit sans meme regarder

[dédoublement provisoire ]

Peu après avoir fini son entrainement auquel il s'adonnait chaque jour, Lancelot encore suant se rendit aux termes (moeurs héritées des romains) en passant par les couloirs des appartements royaux parce que c'était plus court et qu'il y avait bien entendu accès libre comme n'importe quel chevalier.

En passant devant la porte d'une des chambres il entendit une charmante voix de femme qu'il ne connaissait pas qui chantait des airs du pays de petite Bretagne, ceux que lui chantait sa vraie mère lorsqu'il était petit.
Il fut ému et ne put s'empêcher de pousser la porte presque machinalement : elle était ouverte et glissa sur ses gonds sans un bruit.

Hésitant, mais toujours sous le charme de la voix, il engagea son buste puissant dans la porte et franchit le seuil.

Il regarda allentours : la chambre était riche et belle mais le joyau était ailleurs que dans la décoration...

En effet au centre, une fort jolie dame était en train de tourner les pages d'un livre en chantant de ces gracieuses mélodies.

Lancelot s'avança jusqu'à elle. Il se sentait comme ensorcellé. Tout son corps épuisé par les efforts était comme devenu perméable à toutes les émotions dont la plus forte d'entre elle : le désir charnel. Il n'y avait plus que cela qui occupait son esprit et les manifestions physiques de ce désir étaient plus que visibles...

[Hj : no comment...]

Lorsqu'il ne fut plus qu'à quelques centimètres d'elle, haletant, comme rongé par un mal délicieux, la dame prit conscience de sa présence. A moins... Qu'elle n'en eu conscience bien avant mais qu'elle feignait de ne le point voir...

Elle leva la tête, Lancelot tendit sa main et lui caressa doucement la joue.

Qui était-elle ? Peu importait... Une seule chose importait en cette seconde en cette minute et en cette heure : la chair.

Il poursuivit sa caresse longuement pour la faire frémir et l'embrassa brusquement avec fougue : ça y était, Dieu avait libéré la foudre...

Elle le regarda.Vous savez qui je suis ou moins cher inconnu?Je suis la fiancées de Mordred.Je pense que vous connaisez bien

Comme si quelques choses l'en empecha , elle ne continua pas et retourna a la chambre de sa maitresse.Elle poussa la porte et trouva sire Lancelot avec Elizabeth.

Madame, s'horiffia -t-elle

Mais elle prit un draps et se couvra avec.Mes qui etes vous?

J'ai l'envie irresistible de vous écorcher Sire Lancelot. A votre place je me tiendrais loin de son altesse. Je le jures sur la tombe de mon pere que vous regretterez vos geste je vous l'en conjure.jE NE RIGOLE PAS , se facha -t-elle

Elle se mise a pleuré qui etes vous pour qui vous vous prenez je suis la femme du prince d'orcanie.ALLEZ CHERCHÉ MORDRED anna